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Il avait la peau qui sentait les épices
Maquette
Création 2019 à Cour et Jardin, Vertou
Soutiens
Projet soutenu par la Ville de Nantes, le département de Loire Atlantique, La région Pays de la Loire, le T.U., Le Jardin de Verre, Les Fabriques.
Suite à différentes vagues de mouvements égalitaires, comme entre autre, le mouvement « He For She » dont l’ambassadrice est l’actrice anglaise Emma Watson, j’ai voulu me pencher sur la naissance de cette fracture sociale entre l’homme et la femme, et pourquoi aujourd’hui les femmes doivent se « battre » pour obtenir des droits similaires aux hommes. Par extension, j’en suis venue à me questionner : Que représente la femme pour l’homme ? Un objet de désir ? Une mère, ou une putain ? Thèmes non moins classiques mais qui ne cessent d’interroger. C’est alors qu’au fil de mes recherches, j’ai découvert des essais psychanalytiques faisant acte de la dépendance sexuelle de l’homme vis à vis de la femme (s’entendant dans les cas d'hétérosexualité), qui le pousse à vouloir s’échapper de cet être qui l’obsède malgré lui.C’est donc de désir, de désir sexuel, dont il est question dans IL AVAIT LA PEAU QUI SENTAIT LES ÉPICES. Cette pulsion de vie capable du meilleur comme du pire.Autour de ce sujet s’en articuleront d’autres, inhérents à ma recherche artistique : Présence/Absence, Fantasme/Réalité , Unique/Universel.
Image/son/lumière: Simon Demeslay
Scénographie: Lise Mazeaud
Jeu: Julia Malençon, Florence Bourges
Ecriture et Mise en scène: Victoire Bélézy
